Call of Duty Black Ops 7 : toujours au top ! TEST PC
Après Black Ops 6, Treyarch est de retour avec un épisode dans la continuité de son grand frère, mais avec quelques très belles nouveautés qui viennent épicer la formule. Mais face à une concurrence toujours plus agressive (Arc raiders en tête) est-ce que ce nouvel opus est à la hauteur des attentes ?
Campagne, Endgame, Multijoueur, Zombies… Je vous dis tout sur le nouveau KALOF Black Ops 7 !
Call of Duty Black Ops 7 sera disponible le 14 novembre sur PC, PS5 et Xbox Series
Un cauchemars bien réel
Ahhh la la ! Vous connaissez mon amour pour KALOF ! Et très clairement, même si j’ai passé des nuits sur le multi, la campagne c’est sans doute ma petite madeleine au beurre dans le monde merveilleux de la série ! Ici, on a quelques chose d’efficace et assez exotique pour tout vous dire ! On est en 2035. Le monde est au bord du chaos, la peur est devenue une arme.
Ici, on incarne David Mason, le fils du légendaire Alex Mason, à la tête d’une unité d’élite du JSOC.
Sa mission : démanteler La Guilde, une organisation qui manipule la perception et la peur à travers la technologie…
L’histoire fait le lien entre Black Ops 2 et Black Ops 6, mais avec une approche beaucoup plus psychologique.
Certaines missions brouillent totalement la frontière entre réalité et illusion, l’environnement se tord littéralement sous nos yeux avec des décors comme des autoroutes inversées ou des bloc de pierres immenses qui flottent dans les airs… C’est intense, déroutant, parfois même cauchemardesque.
Black Ops 7 ne cherche pas juste à faire vibrer l’adrénaline : il veut troubler, questionner, plonger dans la tête de ses personnages.
Un Black Ops plus narratif, plus mystique, et franchement captivant. La mise en scène est impressionnante et le rythme ne retombe jamais, mais on est habitués avec Call of !!!
D’ailleurs certaines séquences rappellent un peu l’œuvre globale de Remedy ou encore Resident Evil, notamment sur un boss bien particulier…
Un beau mélange, explosif, avec une tension presque surnaturelle parfaitement maîtrisée.

Côté décors, on voyage énormément, des côtes méditerranéennes d’Avalon, aux toits néon de Tokyo, jusqu’à des zones mentales complètement distordues que j’ai trouvé particulièrement réussies ! Chaque mission a sa propre identité, entre infiltration, assaut et séquences hallucinées.
La campagne du jeu mise beaucoup sur la liberté de mouvement, et c’est franchement grisant. Dès les premières missions, le jeu nous lâche dans des environnements ouverts où chaque gadget compte. On va pouvoir les choper dans des caisses d’habiletés à des points précis ce qui permet de s’adapter. Le wingsuit par exemple, c’est pas juste un effet de style : il sert vraiment à aborder les zones différemment, à s’infiltrer depuis les hauteurs ou à fuir un champ de bataille en feu À ça s’ajoute le saut propulsé, hérité de la recherche militaire du monde de 2035. Il permet de gagner en verticalité, d’accéder à des zones autrement inatteignables ou de surprendre un ennemi en plein échange de tirs. Combiné à l’Omnimouvement, il donne une fluidité quasi organique à l’action : on glisse, on saute, on rebondit, on enchaîne.
Le grappin fait lui aussi son grand retour, pensé cette fois pour la polyvalence : fuite rapide, montée silencieuse ou attaque aérienne, il ouvre des approches très variées selon le style de jeu. Et entre deux assauts, certaines séquences misent sur la discrétion ou la verticalité pure, ce qui casse bien le rythme.
Treyarch a clairement voulu que chaque mission soit une mini-arène d’expérimentation, où les capacités se combinent sans jamais casser l’immersion. On se sent vraiment libre d’aborder le combat à sa manière, et ça donne à la campagne un souffle moderne, nerveux et hyper fun.
Il faut savoir que la campagne se joue en solo ou jusqu’à 4 joueurs : j’ai pu toucher à cette option est ce fût un très bon moment !
Les objectifs s’adaptent dynamiquement, et chaque profil garde sa progression : armes, expérience, camouflages… tout reste lié au compte du joueur.
Et cette logique s’étend à tout le jeu grâce à la Progression Unifiée. Désormais, tout ce que vous faites, campagne, multijoueur, zombies, ou Warzone fait avancer un seul profil. Tout se connecte. C’est simple et ça rend le jeu fluide, cohérent et gratifiant.
Bref, un campagne que j’ai pris plaisir à suivre et que tu ne veux pas lâcher ! Seul défaut mais qui revient chaque année, c’est très court, comptez 4/5h max pour en venir à bout.
La fin du game
Néanmoins, quand la campagne se termine, place à une vraie nouveauté : le mode Endgame.
Un monde ouvert centré sur Avalon, jouable avec votre escouade et jusqu’à 32 joueurs et que j’ai trouvé vraiment cool et bien fichu.
Les missions s’enchaînent naturellement, assauts, sabotages, défenses. Et surtout, chaque exfiltration est une épreuve de nerfs évidemment.

Dans le mode Endgame, le but est clair : on affronte pas d’autres équipes, on enchaine les missions et activités pour gagner assez de puissance pour atteindre les zones d’exposition les plus dangereuses d’Avalon, là où une mystérieuse toxine se répand. On démarre en choisissant l’un des 4 emplacements d’opérateur, chacun avec son propre style de jeu et ses pistes de compétences. Il y a 24 opérateurs au total, mais ce sont les armes, les capacités, et les améliorations de puissance qu’on débloque qui définissent la progression.
On se lance avec une arme principale (parmi 28), une arme de mêlée, une arme spéciale et son équipement de terrain. On peut personnaliser et faire évoluer ses armes, utiliser des machines Jailbreak dans les bastions pour en améliorer la rareté, créer des builds permanents partageables avec d’autres joueurs, et même appliquer des viseurs communs à toute une classe d’armes.
Chaque Opérateur peut désormais évoluer à son propre rythme grâce à des arbres de compétences.
En jouant, cela augmente l’Indice de Combat basé la santé, l’armure, la vitesse et les dégâts mais si l’escouade est entièrement éliminée, tout est perdu.
L’idée c’est évidemment de réussir à s’exfiltrer afin de garder ses progrès et de continuer l’aventure.
Six pistes de compétences viennent également affiner le style des joueurs : du Gunner pour la maîtrise des armes, au Daredevil pour la mobilité extrême, en passant par le Bulldozer pour devenir un tank vivant. C’est un mélange de RPG, de tactique et de survie en monde ouvert, un système complet, dense, et franchement grisant.
C’est sans doute l’un des ajouts les plus ambitieux de Treyarch depuis des années. Face à Arc Raiders qui réussit à faire tout ce qu’il fait extrêmement bien, c’est difficile d’être à la hauteur mais le mode est franchement cool et complète magnifiquement la campagne, avec des objectifs variés et du vrai fun ! Perso, j’ai trouvé les runs un peu longues parfois mais j’y ai pris beaucoup de plaisir.
Un multi efficace
Le multijoueur de BO7 signe le grand retour du flow Black Ops. Un gameplay nerveux, clair, précis, qui rappelle immédiatement Black Ops 2, mais modernisé avec la fluidité d’aujourd’hui ! C’est agréable à jouer et ultra grisant !
Et au cœur de tout ça, l’évolution du système Omnimouvement. Introduit dans Black Ops 6, il redéfinissait déjà la mobilité.
Dans ce nouvel épisode, Treyarch va encore plus loin : chaque action est plus fluide, plus libre, plus tactique.
La roulade de combat par exemple, dispo sur la Campagne, Skirmish et le Zombies réduit les dégâts de chute et te remet directement dans l’action.
Le Wall Jump quant à lui ouvre de nouvelles lignes verticales, permet de casser les angles, d’échapper à un duel ou de surprendre un adversaire.
Les murs ne sont plus des limites : ce sont des chemins, des opportunités. Ca révolutionne pas la bébête mais ca rend le tout encore plus fluide.
Et cette sensation, on la ressent surtout sur les cartes. Treyarch reste fidèle à sa philosophie mais l’ajout du Wall Jump change tout.
Les arènes sont plus verticales, plus dynamiques, et ça rend les affrontements à la fois lisibles et imprévisibles.

Et là, gros coup de cœur bien sûr : le retour des cartes cultes de Black Ops 2.
Express, Raid, Hijacked… Elles sont magnifiques, retravaillées pour la nouvelle mobilité, et redonnent cette sensation unique de flow.
On les connaît par cœur, mais on les redécouvre totalement à travers ce nouveau gameplay et ça m’a rappelé trop de souvenirs sur BO2 !!!
Et puis il y a Toshin, un coup de cœur japonisant pour moi ! Dense, nerveuse, pensée pour exploiter à fond la verticalité et la fluidité du déplacement.
C’est une vraie réussite, rythmée, lisible et hyper fun à jouer.
Côté gameplay pur, dans Black Ops 7, Treyarch a voulu de la profondeur sans complexité. Chaque choix compte vraiment : aucun opérateur ne se joue de la même façon. Les Perks forment l’ossature de la personnalisation. Chaque classe en comprend trois, choisis parmi 22,
regroupés dans les Spécialités de Combat et elles définissent notre style sur le terrain.
On retrouve les Spécialités classiques de Black Ops 6, mais aussi une nouveauté : les Spécialités Hybrides.
Elles se débloquent quand tu combines deux perks d’un même type, et elles fusionnent plusieurs archétypes à la fois : attaque, furtivité ou soutien.
- Scout : quand on élimine un ennemi, on devient invisible sur les radars pendant quelques secondes.
- Tactician : les assistances rapportent du score bonus après chaque kill.
- Operative : les éliminations discrètes rechargent plus vite l’équipement de terrain.
Ces nouveautés s’ajoutent aux spécialités classiques : Exécuteur, reconnaissance et Stratège
En tout, six styles de jeu, six façons d’aborder le combat, du tank agressif au flanqueur silencieux.
A noter que les mouvements font désormais partie intégrante du système de perks.
Lightweight par exemple augmente la vitesse et la récupération, tandis que Fast Hands accélère les rechargements et les changements d’armes.
Quant à Dextérité, il améliore la fluidité générale pendant les glissades, les sauts ou les Wall Jumps.
Le Tactical Sprint, lui, devient un vrai choix : un perk à activer, plus rapide mais plus risqué.
Enfin, certains perks influencent carrément le travail d’équipe. Résultat : un système riche, clair et ultra flexible, où chaque perk change vraiment la manière de jouer.
Armé jusqu’aux dents !
Au rayon des équipements et Scorestreaks on a aussi de quoi faire : les tactiques misent sur le contrôle et la survie : entre les classiques comme la grenade flash, le Stim Shot ou l’EMP, et les nouveautés comme une grenade qui balance un gaz hallucinogène et brouille complètement la vision ennemie, ou la Pinpoint Grenade qui marque les cibles à proximité, on a de quoi retourner une partie entière juste avec le bon timing.
Côté offensif, les létales font le taf : retour du C4, grenade collante, Molotov, mais aussi du Needle Drone, une sorte de mini-drone explosif guidé à la main. Et chaque grenade peut être Overclockée, avec des effets amplifiés ou un contrôle plus précis… un vrai petit jeu dans le jeu.
Et bien sûr, les Scorestreaks restent le grand moment de gloire du multi avec deux nouveaux joujoux au programme : le Gravemaker, un fusil à rail capable de tirer à travers les murs, et le D.A.W.G., un petit véhicule blindé presque mignon et déployable équipé d’une tourelle et de roquettes pour le contrôle de zone.
Là aussi, chaque streak peut être modifié grâce à l’Overclock : plus de durée, plus de puissance, voire des déploiements alternatifs.
Tous les modes phares sont là bien sûr : Match à mort par équipe, Domination, Recherche et destruction, Point stratégique, Elimination confirmée, Overload aussi, un nouveau mode où les teams s’affrontent pour capturer, escorter et défendre un dispositif unique dans un combat de position permanent.
C’est tendu, stratégique, et ça apporte un vrai souffle d’équipe au multi. Et surtout, il y a Skirmish, le nouveau mode 20 contre 20, une refonte totale du Ground War, plus fluide, plus nerveuse, avec une meilleure lisibilité et des objectifs dynamiques.
Un instant, il faut capturer un point stratégique ; la minute suivante, escorter un convoi sous le feu ennemi ; puis tout d’un coup, défendre une zone qui devient un véritable champ de bataille. Cette rotation dynamique, combinée au gameplay ça donne quelque chose d’hyper nerveux où chaque escouade doit se réorganiser en permanence.
Ce que j’ai vraiment adoré, c’est que malgré l’intensité et il y en a beaucoup, tout reste lisible. Pas de chaos gratuit, pas d’énormes maps vides : Skirmish garde l’ADN Black Ops, mais l’étire dans un format beaucoup plus explosif. C’est ambitieux, moderne, ultra fun, et surtout… ça renouvelle totalement la formule du multi. Une vraie réussite.
Nouveauté, qui est ultra satisfaisante aussi c’est le Prestige d’armes. Chaque arme peut désormais évoluer au-delà de son niveau maximum, débloquant des camouflages exclusifs, des emblèmes rares et même des modifications uniques. Plus on joue avec une arme, plus elle devient une extension du joueur et elle transforme la fidélité à une arme en véritable progression personnelle.
Et bien sûr, le Prestige global est toujours là. La montée classique jusqu’au niveau 55 suivie des rangs Prestige, puis du Prestige Master, avec mille niveaux supplémentaires à gravir. Chaque étape débloque des récompenses, des skins exclusifs, et grâce à la progression unifiée, tout s’étend à la campagne, au Zombies et même à Warzone. En clair, le multijoueur de Black Ops 7 est dense, nerveux, et incroyablement complet.
C’est du pur Treyarch, peaufiné, moderne, et ultra addictif.
Le Zombies : une folle histoire d’amour !
Evidemment, le mode Zombies fait un retour fracassant. Plus vaste, plus immersif, et plus personnalisable que jamais mais aussi toujours plus hardcore !!!
Tout se passe dans le Dark Aether, la dimension tordue où le temps et la réalité se disloquent. Dans Ashes of the Damned on va traverser 6 zones principales, chacune ayant sa propre histoire et temporalité. Bon courage pour y parvenir d’ailleurs parce que c’est coton coton !
La formule vous la connaissez, elle est toujours aussi simple, géniale et WTF : tuez du zombies à foison pour accéder à de nouvelles zones, faire face à de nouvelles vagues plus ardues, et se faire plaisir en souffrant en progressant dans la joie. On va choper des atouts, des armures, des améliorations d’armes à la machine Sacré Punch bref tout pour survivre et faire du headshot en toute tranquillité ou presque.
On trouvera aussi l’Arsenal permettant de choper des mods de munitions, comme par exemple Putréfaction de cerveau qui permet de rallier un zombie de notre côté en lui tirant dessus, et des améliorations de niveau rares pour les armes. Comme d’hab, le terrain regorge d’armes à acheter et de machines à se faire plaisir, comme la cultissime boite mystère permettant de choper une arme aléatoire pour 950 boules, ou encore le distributeur de GobbleGums, on en a 47 au total avec 6 nouvelles variantes. On peut même recycler les gommes en pleine partie pour obtenir de l’Essence. Ça paraît anecdotique, mais ça change vraiment la dynamique des runs.

Avant chaque partie on prépare ses armes, son équipement, amélioration de terrain… tout est personnalisable à fond. La continuité du système de Recherche d’Augmentations de BO6 approfondit encore la progression, avec pas loin de 200 améliorations interchangeables pour les atouts Perk-a-Colas, les Mods de Munitions et les Améliorations de Terrain…C’est un régal pour les fans de progression et de builds.
La carte principale, Ashes of the Damned, sert de hub géant, composé de six grandes zones reliées par un véhicule : la vieille Tessie, un vieux pick-up customisable qui sert à la fois de transport et d’arme. Dès le départ on va l’améliorer pour aller à la zone suivante. On peut l’équiper, le renforcer, le rendre complètement fou. Et c’est aussi fun qu’efficace : c’est un vrai compagnon d’aventure et j’ai kiffé cet ajout ! Après soyons clair encore une fois, le mode zombie est extrêmement corsé cette année, aussi hardcore que fun mais ça fonctionne tellement bien…
Trois modes de jeu rythment l’expérience : le mode Standard, c’est le bon vieux round-based, mais à une échelle inédite.
Un immense monde interconnecté, plein de quêtes, de secrets, et la quête principale scénarisée.
Le mode Survival qui revient pour la première fois depuis Black Ops 2. Une carte, un objectif, un cauchemar : tenir le plus longtemps possible.
Le Mode Cursed qui sera le plus punitif, mais aussi le plus gratifiant. On démarrera avec un simple pistolet, pas de mini-map, et un système de points à l’ancienne.
Et pour finir, Dead Ops Arcade 4 toujours aussi fou, toujours aussi fun. 80 niveaux, 20 arènes, des véhicules improbables, un boss colossal.
C’est du pur Treyarch : décalé, explosif, et totalement addictif, j’ai kiffé l’expérience, c’est vrai que c’est le genre de mode qu’on ne regarde pas forcément mais qui en réalité est méga cool, à faire en stream assurément !!!
En résumé : le mode Zombies de Black Ops 7 est un monument une fois de plus. Une rejouabilité folle, une profondeur énorme, une atmosphère inégalable et un vrai amour du détail. C’est clairement toujours un bonheur à jouer.
Enfin, visuellement, Black Ops 7 ne cherche pas la démesure, mais la cohérence et la beauté dans le détail.
La direction artistique est superbe, la mise en scène maîtrisée et le nouveau C-Link System relie toute l’expérience, menus, narration, communication, progression dans un seul et même univers cohérent.
Et gros coup de cœur aussi pour la musique… j’ai trouvé que les morceaux étaient tous canons
Épique, dramatique, parfaitement synchronisée à l’action. bref, c’est quali là aussi et ça mérite d’être dit !
POINTS FORTS
- Campagne jouable à 4, prenante, avec un vrai souffle SF.
- Endgame ambitieux et super addictif
- Gameplay enrichi : plus fluide, plus tactique, plus libre.
- Système de perks et spécialités hybrides : profond, clair, gratifiant.
- Skirmish, qui dynamise le multijoueur et renouvelle la formule.
- Mode Zombies : fun, nerveux, colossal.
- Musiques épiques
- Progression unifiée gratifiante.
POINTS FAIBLES
- Certaines séquences du Endgame s’étirent un peu
- Le mode Zombies est vraiment exigeant.
- Campagne courte
- Certaines séquences de la campagne trop « zombies »
- Le solo hardcore en solo
Avec Black Ops 7, Treyarch ne cherche pas à révolutionner la série, il cherche à la maîtriser, à le rendre plus cohérente, plus généreuse. Une campagne intense aux accents horrifiques, un End Game ambitieux et dans l’air du temps, un multijoueur affûté et enrichi, un mode Zombies toujours monumental, bref la recette est complète et efficace. Avec ses perks hybrides, son gameplay toujours modernisé et la progression unifiée Treyarch livre un épisode dense, cohérent et parfaitement calibré pour 2025. Un Call of Duty moderne, nerveux, intelligent, fidèle à son héritage… mais clairement tourné vers l’avenir.
